Prologue des jardins de l'autre monde

Il est un endroit merveilleux que les Hommes peuvent rejoindre lorsque la lassitude, la fatigue, la colère, ou encore le stresse les assaille, ou quand ils veulent se promener seul ou accompagné, pour aller au bord du lac à l’eau cristalline, emplie du faune luxuriante navigant entre roseaux, nénuphars et surtout le fameux lotus rouge, qui fait toujours s’émerveiller les gens venant pour la première fois en ses lieux d’un autre monde.

D’un autre monde car ici tout ce que l’on veut on l’obtient, vous désirez un verre d’hydromel vous en aurez un tonneau, vous souhaitez manger un délicieux croissant au beurre tout juste sorti du four que déjà une tablé de viennoiseries embaume l’atmosphère d’odeur des plus appétissantes, vous avez des fantasmes que vue jamais au grand jamais n’aviez pensé assouvir que vous apercevez l’objet ou la personnes l’incarnant sans que quiconque ne vous fasse le moindre reproche ou même ne se permette le moindre commentaire, bref le pêcher de luxure n’existe pas plus que la honte, pour les être assoiffé de savoir ils n’ont qu’à demandé et tous les livres qu’ils désirent leurs seront présenté sur un plateau d’or massif…

Ce monde fabuleux vous y êtes alors profitez en…

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Si l’on s’aventure plus en avant dans ce paysage, on peut découvrir un groupe de bâtiments, par exemple une auberge à deux étages, le rez-de-chaussée composé d’une salle commune pour y festoyer et y boire, accompagné de quelques ivrognes, habitué à s’imbiber d’alcool pour passer le temps, ou tenter de refermer une vieille blessure, une de celle qui laisse son âme mortifié et rend toutes choses insipide, aux étages les chambres avec un lit douillé qui transporte quiconque vient faire un somme dessus vers le pays des rêves bleus. Pour les cavaliers pas de problème l’écurie attenante permet d’offrir (moyennant une somme exorbitante pour un tel service) un repos mérité à sa fidèle monture. Les autres bâtiments, de bois et de terre, sont soit des tavernes, des auberges, des hôtels, ou des bordels, on trouve également un bâtiment, construit exclusivement en pierre, et haut de plafond, la bibliothèque. Le dernier édifice, entouré d’un vaste parc et protégé par un mur de cinq mètres de hauteur, avec un portail en or ciselé, ne laissant voir qu’un palais d’un marbre blanc d’une pureté inégalé, qui illumine jusqu'à la plus profonde grotte de la vallée. Pour qui peut bien être ce palais me direz vous, mais qui d’autre que le maître des lieux, le garant de la stabilité des pouvoirs magiques mis en place dans cette contrée, le plus sage des mages reconnu par le haut conseil de la magie des trois mondes. Il doit ici préserver tout ce qui est bien, juste et loyale. Pour cela il combat les être malfaisants qui s’introduisent dans la vallée, pour les simple mortels il ne fait que leur interdire l’accès par quelques sorts mineurs, pour les démons et autre utilisateurs de magie noir il vient en personne les combattre et les détruire. Mais tout ne se passe pas toujours bien, car lors de son dernier combat une chose qu’il n’aurait pas penser réalisable c’est produite, une chose qui met en danger la vie de beaucoup de personnes, trop de personnes….

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Quelques jours plus tôt, Margal, car tel est le nom du mage, gardien, des jardins de l’autre monde, était parti confiant affronter un diablotin, apparu près de la frontière nord du domaine, les détecteurs magique ne montrant qu’un faible pouvoir quelques sortilèges d’entrave et de bannissement suffirais pour le faire partir à jamais des jardins. Mais une fois arrivé sur les lieux Margal avait flairais un mauvais coup, aucun départ de feu, pas de pièges mineur qu’un diablotin ordinaire aurais aussitôt mis en place pour faire rire ce mini démon, à la place un silence pesant, Margal ce préparant au pire mettait en place un sortilège en maille pour l’isoler des attaques magiques. Mais avant qu’il n’ait eu le temps de finir, un poing d’aire le cueilli au plexus solaire et l’envoya s’écraser sur un tas de bois mort, ayant grâce à cette attaque localisé son adversaire il fit jaillir de sa paume un éclair bleu d’énergie pur qui par malheur fut dévié de sa course par un contre sort avant d’atteindre son objectif, et fini sa course sur un rocher qui explosa, projetant des gravas sur les deux combattants. L’adversaire de Margal à présent à découvert pouvait montrer toute sa noirceur, ce qui ressemble à un homme haut de deux mètres, un manteau noir absorbant toute lumière, une capuche sur la tête ne permettent de voir que deux pupilles d’un rouge flamboyant.
Cette diversion permit à Margal de finir son sort de protection avant de se relever péniblement. Les deux adversaires se font fasse, ils se jaugent, s’observent, analysent, attendent que l’autre attaque. Finalement ils lancent l’un sur l’autre un éclair d’énergie pure et destructeur, éclair vert, éclair bleu fonçant vers l’annihilation de sa cible, tires parfaites, tellement parfaites que les deux éclairs se rencontrent au milieu de leur course. Rencontre explosive. L’énergie pure des éclairs est libérée dans une explosion dévastatrice. Margal se retrouve propulsé dans les airs pour s’écraser cent mètre plus loin inconscient. Son bouclier l’ayant tout juste protégé de la mort.
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